Depuis son apparition il y a quelque années, l’impression 3D a continué sa lutte constante dans l’utilisation de nouveaux matériaux. L’objectif est clair. Plus augmente le nombre des matériaux disponibles pour l’impression 3D, aussi augmente le nombre de secteurs qui peuvent implémenter l’utilisation de la technologie 3D.
Pendant plusieurs années, les imprimantes 3D se limitaient à utiliser du PLA, un matériel biodégradable facile à imprimer. Une utilisation que désormais s’est étendu dans les centre éducatifs et qu’on peut voir avec les imprimantes 3D comme la Colido Compact et la Colido D1315. Mais les limitations mécaniques du PLA empêchait à l’impression 3D son utilisation dans le domaine professionnelle. Avec l’apparition du ABS comme matériel d’impression 3D, le champ s’élargit. L’ABS, qui a des grandes propretés mécaniques, déjà permettait l’entrée des imprimantes 3D dans le domaine industriel. Un usage que commençait à être globale. De cette façon on voit équipements avancés de bureau comme la Colido 3.0 et la Colido 3.0 Wi-Fi capables de travailler avec ces matériaux.
Apparition des nouveaux matériaux pour les imprimantes 3D
Pendant le cours des dernières années, des nouveaux matériaux ont été développés optimisés pour son utilisation dans l’impression 3D. De cette façon ont apparu beaucoup des matériaux basés en PLA mais avec composants qui se rassemblait aux bois (WOOD), cuivre, bronze… Matériaux que n’apportaient aucune valeur professionnelle à l’impression 3D, mais qui généraient des finitions différentes très demandées.
Le TPU a provoqué un grand changement en la conception de l’impression 3D. Un matériel flexible qui permettait arriver aux secteurs tels que la mode, sport, mécanique, … Les limitations étaient données pour le dégrée SHORE A que les imprimantes 3D de filament pouvait atteindre en dépendant de la propre technologie. Dans ce sens, la Colido X3045, avec une grande taille d’impression, s’adapte parfaitement à ces matériaux.
Le PA (Nylon), PC (Polycarbonate), ASA, HiPS et le PET-G ont déjà permet à l’impression d’atteindre 3D un autre niveau. Filaments techniques avancés qui permettent obtenir des caractéristiques techniques avancées. Matériaux qui portent l’impression 3D à être considérée comme un système productif globale. Cependant, l’utilisation de ces filaments comporte la nécessité de compter sur des imprimantes 3D professionnelles et fiables. Comme par exemple, de ces équipements se démarque la Tumaker NX Pro, avec la possibilité d’utiliser bobines de jusqu’à 8 kg.
Matériaux techniques avancés pour l’impression 3D
En la recherche des nouveaux matériaux pour l’impression 3D, un des chemins plus parcourus a été le développement des matériaux mixtes. Matériaux avec composants de fibre en verre, fibre de charbon, composants minéraux, … Ces matériaux ultra-résistants et avec propretés thermiques, ignifuge ou chimique, habituellement sont difficiles à imprimer et nécessitent buses résistantes à l’abrasion. La nécessité d’imprimantes 3D professionnelles pour son utilisation est chaque fois plus évidente. Des imprimantes qui peuvent avoir buses all-métal résistantes à l’abrasion des matériaux. Les Séries Bigfoot de Tumaker sont un clair exemple d’imprimantes 3D professionnelles.
En plus, pendant ce temps, s’est intensifié l’utilisation des matériaux avancés comme l’ULTEM ou le PEEK. Matériaux qui, avec ceux basés en Polypropylène, portent l’impression 3D à son utilisation la plus professionnelle.
Limitations dans le développement de nouveaux matériaux pour l’impression 3D
Comme on voit, l’évolution dans l’utilisation des matériaux pour l’impression 3D a été constante. De toute façon, le développement de nouveaux matériaux compte avec la limitation du cout économique associé et de la nécessité d’optimisation du matériel. Une optimisation nécessaire pour son rendement dans l’impression 3D.
Dans les processus d’optimisation des matériaux on trouve différentes transformations préalables nécessaires. Pour un côté l’obtention du propre matériel de base. Une investigation et un développement couteaux, totalement fondamental. Une fois obtenu le matériel, normalement en format pellet ou granules, on doit le transformer au format de filament. Cette première transformation génère déjà un changement en les propretés chimiques et physiques du matériel. Après avoir obtenu le filament, il manque de tester ses performances en une imprimante 3D. Au cas où le rendement n’est pas adéquat, on doit recommencer et réaliser les modifications pertinentes en la composition du matériel de base. Ce processus se répétera jusqu’à quand le produit final soit un filament efficient et imprimable en 3D.
Liberté en le choix du matériel à imprimer en 3D.
Finalement, maintenant, on arrive à avoir un vrai changement disruptif en l’utilisation des matériaux dans l’impression 3D. Une transformation technologique que permet l’utilisation des matériaux impensable jusqu’à présent.
Les imprimantes 3D FDM fonctionnent avec filament. Pourtant, les matériaux se limitent à ceux qui existent déjà en format de filament. Pour cette raison IT3D a développé une imprimante 3D de pellets. Une imprimante capable d’imprimer en 3D directement avec les granules. Une imprimante 3D qui rompe avec les limitations en l’utilisation des matériaux.
Avec l’imprimante 3D Tumaker NX Pro de Pellets et la Tumaker Bigfoot Pro Pellets, l’utilisateur peux utiliser son propre matériel d’injection. Les imprimantes peuvent imprimer en 3D avec matériaux certifiés et homologués. Les développeurs des matériaux boostent le processus à ne pas tenir que le convertir en filament pour le tester en las imprimantes 3D.
Imprimantes 3D de Pellets : la nouvelle frontière dans l’impression 3D
Grace à cette imprimante 3D, on peut travailler avec matériaux impensables en format de filament. Matériaux techniques comme ABS+CF, PA12+Ferrite, PA12+Neomidio, PP+ charge Minérale, HDPE, PC 766M, PA66, CataMold, Grillon BK.30, VALOX Résine 357X, PPC 7712, …
Grace à cette imprimante 3D et sa technologie d’impression 3D avec le pellet, on peut travailler en toute sécurité avec polymères avec composition ferrique, composition minérale, de fibre, … Un vrai choix d’élection des matériaux.